FAQ – Questions fréquentes

 

1. Est-ce que je dois être nue pendant la séance ?

Non. Rien n’est jamais imposé.
Certaines séances se font habillée, d’autres partiellement dénudée si c’est pertinent et avec votre accord. C’est vous qui décidez, en fonction de ce que votre corps autorise.

 


2. Est-ce que vous touchez le sexe ?

Seulement si cela fait partie de la séance prévue, avec votre accord écrit, verbal, et corporel.
Chaque zone est validée à l’avance dans le contrat de consentement.

 


3. Et si je ne suis pas à l’aise pendant la séance ?

On s’arrête. À tout moment.
Vous avez le droit de dire non, de changer d’avis, ou de mettre une pause, même en plein milieu.
C’est votre corps qui guide.

 


4. Est-ce que je risque d’avoir un orgasme ?

C’est rare, mais cela peut arriver spontanément.
Je n’encourage ni ne cherche l’orgasme. Si cela se produit, on l’accueille sans jugement, selon ce que nous avons défini ensemble dans le contrat de consentement (immobilité, pause, ou fin de séance).

 


5. Est-ce que vous êtes formé ?

Oui. Je suis engagé dans une démarche structurée d’accompagnement somatique, basée sur l’écoute corporelle, le respect des limites, et la neutralité du praticien.
Je continue à me former régulièrement.

 


6. Est-ce que c’est réservé aux femmes ?

Oui, actuellement je n’accompagne que les femmes.
Cela me permet de poser un cadre clair et de me concentrer sur une pratique cohérente et sécurisante.

 


7. Est-ce que je peux venir juste pour parler ?

Oui, bien sûr. Certaines séances sont entièrement verbales.
Parfois, le corps n’est pas prêt à être touché — et c’est une étape précieuse.

 


8. Est-ce que c’est thérapeutique ?

Non, ce n’est pas une thérapie au sens médical ou psychologique.
Mais cela peut avoir des effets profonds.
Je n’analyse pas, je n’interprète pas : je vous accompagne dans une expérience sensible du corps.

 


9. Comment se passe la prise de rendez-vous ?

Vous pouvez m’écrire à corpscurieux@gmail.com.
Nous convenons ensemble d’un premier échange gratuit, puis, si cela vous convient, d’une première séance.

 


10. Où se passent les séances ?

Pour le moment, je me déplace à domicile, dans un cadre défini à l’avance ensemble.
Nous discutons du lieu, des conditions de confort et de tranquillité.

 


1. Vous touchez la vulve, donc c’est sexuel ?

Non. Ce n’est pas parce qu’une zone est sexuelle qu’un toucher l’est.

Le cadre dans lequel je touche la vulve est :

  • lent,

  • respectueux,

  • sans intention de provoquer du plaisir.

Il ne s’agit ni d’un massage sexuel, ni d’un acte érotique.
Je suis là pour accompagner le corps dans ce qu’il vit, pas pour enflammer ou provoquer.

 


2. Et si j’ai un orgasme pendant la séance ?

Cela peut arriver. Ce n’est pas recherché, ni évité.
Nous définissons à l’avance ce qu’il se passe dans ce cas.

Ce n’est pas une montée “à vivre ensemble”. Je reste neutre et présent, sans répondre.

 


3. Un homme peut-il vraiment faire ça sans arrière-pensée ?

Oui.
Mais ce doute est légitime. Il est lié à des siècles d’abus, de domination et de non-respect du corps féminin.

Ma position est claire :

  • je ne cherche rien pour moi,

  • je ne projette rien sur vous,

  • je me mets au service de votre rythme, de votre corps, de votre sécurité.

Et s’il n’y a pas cette confiance de base, la séance ne doit pas avoir lieu.

 


4. Est-ce qu’il peut y avoir ambiguïté de votre part ?

Non.
Le cadre que je pose est là précisément pour éviter toute ambiguïté.

Je ne cherche pas à séduire, ni à provoquer une réponse sexuelle, ni à recevoir quelque chose en retour.
Mon rôle est d’accompagner avec présence et neutralité, sans me laisser emporter par ce qui pourrait se jouer dans l’intime.

Si je sens que ce cadre est remis en question, la séance s’arrête.

 


5. Et si je ressens du plaisir, est-ce mal ?

Non. Ce n’est pas mal. C’est juste une information du corps.
Un frisson, une détente, une montée… tout est bienvenu, tant que c’est vécu librement, sans pression.

Mais je ne répondrai jamais à ce plaisir.
Et vous n’êtes jamais obligée de le “suivre”.